Commandez votre panier en ligne et venez le chercher à la ferme pendant les heures d'ouverture !

Sale bête !

Bonjour les amis,

Le vent de ce week-end n’a fait aucun dégât. En revanche, les mulots ont l’air bien décidés à nous compliquer l’existence.

Pour automatiser l’irrigation de nos cultures, Guillaume a fabriqué un programmateur qui pilote les électrovannes. Dans chaque serre et dans chaque jardin situé à l’extérieur, il y a ce que l’on appelle une électrovanne, permettant d’allumer et d’éteindre l’arrosage. Notre système permet donc de programmer à l’avance le démarrage et la fin des séquences d’irrigation.

Les avantages sont nombreux :

  • On gagne du temps (c’est fastidieux d’ouvrir et de fermer les vannes de tous nos jardins manuellement), en semaine mais aussi le week-end ;
  • On ne risque pas d’oublier, ce qui permet de ne pas gaspiller la ressource en eau ;
  • Et cela évite d’abîmer les cultures avec un arrosage trop important.

C’est donc un outil de travail précieux, qui nous épargne une « charge mentale » liée à l’irrigation.

Nous savourons chaque jour l’intérêt de ce système car pour notre 1ère saison, nous n’avions pas encore eu le temps de mettre ça en place et c’était très lourd !

Sauf que voilà, un petit mulot (une souris, une musaraigne ?) a décidé de faire ses besoins sur les circuits électroniques du programmateur ce week-end.

Regardez de plus près.

 

Mais pourquoi une telle idée alors que ce n’est pas la place qui manque et qu’on a connu plus bucolique comme lieu d’aisance ? Notre hypothèse est que c’est un endroit qui dégage une légère chaleur, et que notre mulot avait peut-être froid aux fesses…

Ajoutez à cela des coupures de courant samedi et dimanche à cause de la tempête, notre tentative de nettoyer un peu certains endroits sensibles pendant que c’était encore « frais » : résultat, court-circuit, tout est grillé..

 

 

Voilà.

Il faut racheter du matériel électronique et tout réassembler.

À cause des petites crottes du dimanche d’une souris.

En attendant, nous devons allumer et éteindre manuellement chacune des vannes pour irriguer nos champs. Heureusement, à cette époque, l’arrosage est très limité. Seule une partie des tunnels (dans lesquels il ne pleut pas) a besoin d’être irriguée, notamment pour faire lever nos semis de radis et de carottes.

 

Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Apparemment, tous ces efforts lui ont donné faim, à notre rongeur, qui, pour se remettre de ses émotions, est allée casser une graine dans le tunnel des melons.

Luttant contre vents et mulots, nous serons ouverts cette semaine comme d »habitude et vous pourrez trouver un très grand choix de légumes.

A bientôt !

Magali & Guillaume.